Road to Japan

alors voici une petite histoire que j'ai écrite y'a 3ans à peu près qui parle du japon.
Précision : n'ayant jamais été là bas pardonner tout les trucs faux ou impossible fallait bien que j'invente !!

ce truc est totalment loufoque sortit de mon délire avec ma propre facon de m'exprimer en faisant plein de parenthèse partout donc parfois c'est chaud à lire. et excuser les photes d'orthographes aussi !!

j'espère que vous aimerez bien !! je vais juste vous mettre la première partie (que je vient de couper) soit le départ. juste un truc, le truc en entier fait 23 pages word.

bon assez blablater voici le bébé !

Road to Japan.

Enfin mon rêve se réalise, je pars au Japon. J'ai 25 ans, et la vie me sourit. Pas de problème financier, pas d’ennuis avec les mecs, puisque j'ai un certain choix, et je vais dans un pays fantastique. Bon c'est sur je ne suis pas seule dans cette aventure, ma meilleure amie m’accompagne, j'ai nommé Milie (- présente toi à la caméra, - bonjour, - ça suffit, merci !) et nous voici dans mon appart’ toujours en France, entrain de cherche mon passeport à H -3.

- Putain, mais où est ce que j'ai pu l’avoir foutu ! Putain de bordel de merde !

- Véro, tu fais chier, on doit partir grouille !

- Ouais, merci je sais, mais sans ça, bye-bye la vie dorée. Ah ! je le vois !

Grâce à une chance insolente, je retrouve mon précieux passeport.
- Bon maintenant, on y va !

- Oui, oui j’arrive !

Un taxi nous attendait déjà depuis trop longtemps, et le chauffeur s’impatientait. Je fermis la porte à double tour et glisse les clefs dans la boîte aux lettres, ma petite sœur devait venir avec son copain, pendant que j’étais pas là, pour profiter de l’appart’.

Le taxi fila enfin direction l’aéroport. Là-bas, l’attente fut moins longue que je ne cru, et déjà on été dans l’avion, direction Tokyo. Pendant le vol, Milie et moi avons vérifier pour la 1000ème fois notre japonais (on le connaissait déjà sur le bout des ongles) et notre anglais (à ce qui parait les japonais sont bilingue).
Pour me détendre enfin, je continuais le scénario de notre petite histoire. Effectivement Milie et moi avions décidé d’écrire une petite BD façon japon, je ne peux pas dire que c'est un manga vu que nous ne sommes pas japonaises.
Absorbé, je n’entendis pas l’hôtesse qui me proposer un rafraîchissement. Je m’excusa et poussa mes papiers vite fait. Elle me servit, et puis tout se passa bien (je vais pas tout raconter non plus ça intéresse personne). Bientôt un petit message retentit.

- Ladies and gentlemen, please go to your seat, the plane’ll take on to Tokyo.

Enfin, enfin, je vais poser les pieds au Japon. Alléluia ! Youpi ! Oui ! Yes ! (Débordement de joie, etc…) L’avion se pose tout en douceur, on applaudit comme toujours chose à laquelle je n’ai jamais compris pourquoi lol). Et bientôt, je me lève après Milie pour sortir, je récupère mon sac à main (avant j’avais rangé mes papiers).
Je sors, j’arrive dans l’aéroport, y’a plein de nippons, ils ont tous les yeux bridés, ah c'est trop drôle (faut que je m’habitue, Véro c'est normal). On passe la douane, heureusement que j'ai retrouvé mon passeport, je m’habitue peut à peut à ne pas fixer les gens avec des yeux exorbités. Milie me traîne pour qu'on aille récupérer nos bagages.
Quand c'est chose faite, on part échanger quelque menu monnaie (faut bien vivre). À la sortie de l’aéroport, on retrouve notre contact (ça fait penser mafia, non ?), un type qui s’appelle Kyosuke (j’en connais pas 36 mille de prénoms moi). Il nous aide à porter nos valises et direction de la 1ere gare de train, là-bas c'est le transport en commun n°1.

Le temps passe et je m’émerveille devant le paysage qui défile comme une gamine de 6 ans. On arrive à notre arrêt, alors on descend et pousse nos affaires jusqu’à deux petits appart’ parmi tant d’autres (le style des trucs étudiants, pour ceux qui connaissent). On a un appart’ chacune, mais la salle de bain en commun. Le truc de base quoi, mais on est HEUREUSE.

hé hé hé !! J'adore !! j'ime tro, c tro drole !! et tu va rire, mais Kyosuke... C ds Kizuna et il fait partit des yakusa ! ^^

tu sais quand j'ai mis Kyosuke je pensais pluto a Orange Road pour ma part (soit max de max et compagnie en VO) mais bon, si tu le dis je te crois Wink

tu veux la suite maintannt ou attend un peu ?

Ben tu sais si le bébé est déjà née autant nous en faire profiter à fond, pas besoin de prendre son temps maintenant ! happy

ok mais bon, je voulais faire comme les autes et donc faire mariner tout le monde lol !!

lol bon vala la suite !

Quelques semaines passent, je me suis bien habituée. Je dévore des tonnes de mangas (c'est pas chère là-bas), j'ai trouvé un petit boulot, je suis serveuse dans un petit café. Milie continue de dessiner ses plans qu’elle expédie dans le monde entier, et les planches de BD (moi je colorie et je m’en sors pas si mal, mais Milie et meilleure que moi). On avait décidé d’envoyer une petite maquette à plusieurs éditeurs et on espère comme beaucoup d’autres. Je reviens de mon boulot à pieds. Ce n’est pas trop loin et en plus grâce à cela je vois les librairies. D’ailleurs, on commence à bien me connaître, je suis la petite française. Ici ils adorent la France alors on est les bienvenues. Parfois quand je m’arrête, la libraire commence à me questionner et ça n’en finit plus. C'est Milie en rentrant qui me tire jusqu’à chez moi. Aujourd’hui encore je m’arrête, mais la libraire travaille dure et ne voit pas que Milie arrive et me tire jusqu’à l’appart’ sans que j'ai le temps de dire un seul mot.

- Holà ! Qu’est ce qui y’a ?

- Ils ont répondu oui !

- Qui ? Que ? Quoi ?

- Y’a quelqu'un qui est d’accord pour nous éditer !

- Non

- Si

- Non

- Mais si et arrête ça peut durer longtemps ce jeu

- Non.

Je le crois pas, on entend partout que les auteurs doivent recommencer quatre ou cinq fois avant de se faire accepter. Nous on arrive de notre petite Europe et hop – là c'est dans la poche. Ça ne peut pas être vrai, et pourtant si. On avait rendez-vous pour la semaine prochaine avec celui qui serai peut – être notre agent. C'est génial. Adieu veaux, vaches, cochons, vive le luxe (mais que de bêtises dite moi). Maintenant grande question : qui va allait au rendez-vous, Milie, moi ou toutes les deux ? Après 30 secondes de réflexion, on décide d’y aller ensemble. Je raterai une aprèm de service c'est pas grave. Je dirai à mon patron que je dois absolument aller voir quelqu'un pour un boulot intéressant. Ce qui est vrai, et il ne m’en voudra sûrement pas. Bon alors qu’est ce que je pourrai bien me mettre ? j’en sais rien, même si l’entretient est dans huit jour, je peux pas penser à autre chose que ça. Mon dieu. Ça c'est moche, ça ça me va plus, ça, c'est à moi cette chose ?! Bon calmons nous ok. Non, non, t’es folle, peut-être, ok, passe, ouais bof. Enfin je vais bien trouver quelque chose, non ? pas de souci, j’ai mon arme absolue qui… a disparut. Où elle est ? Allez vas y fonce à côté.

- Milie tu…

- Ça me va bien ?

Elle m’a piqué mon arme secrète, oups correction, c'est elle qui me l’avait prêter pour mon entretient comme serveuse. Bon reste plus qu’à recommencer à zéro.

tu sais avec 21 pages, t'as le temps de nous faire mariner , en plein milieu lol !

oui je sais c'est pour ça que c'est drôle !!!

ais bon, ca va j'avance assez vite je trouve et puis tu l'a deja lu toi !

bon alors la suite tout de suite !

Vous avez jamais remarqué que les immeubles sont super imposants, non ? Ah bon, en tout cas celui-ci est super impressionnant (je crois que je me répète) quand faut y aller faut y aller. Une marche, deux marches, ouai j’arrive encore à marcher, malgré le tremblement incessant de mes jambes. Ok, on est dans le hall.

- Milie, tu peux aller demander où il faut qu’on aille, s’il te plait ?

- C'est toujours moi qui dois tout faire, oh ! Faudrait que t’apprennes à te débrouiller seule, t’es grande maintenant.

C'est vrai que depuis longtemps, je suis timide. Exemple de la 2nd (c'est à partir de là que je me souviens bien) : à chaque fois que quelqu'un de pas trop proche de moi (exemple : un prof, un type que j’apprécie) me parle, je rougis à en faire peur. Bon depuis j'ai changé, je suis moins timide. Mais des lacunes persistent. Alors, prenons notre courage à deux mains.

- Bonjour, nous avons rendez-vous avec Mr H. (euh. Je sais pas comment l’appeler).

- Vos noms et prénoms, s’il vous plaît. Je vais vous annoncer auprès de Mr H.

- Melle Lelois Véronique et Melle Hechin Milie.

Elle se retourne et nous annonce dans un joli micro très design.

- Mr H. est prêt à vous entendre. Veuillez monter au 13ème étage, c'est la 2nd porte à gauche. C'est écrit dessus.

- Merci beaucoup.

Milie qui était resté en arrière part la 1ère en direction des ascenseurs. On monte au 13ème (chiffre porte bonheur ou malheur ?) On tourne à gauche (Milie commence à partir à droite mais se ressaisi juste à temps). Et nous voilà devant la porte. C'est ce qu’on peut appeler une belle porte. Mais quelle connerie, je trouve rien de mieux à penser ? Bon, on va dire que c'est dû au stress. Allez, attend que Milie tape. Oui, oui, non. Bon alors, vas taper. Ah non. Milie le fait. Youpi. On entend une voix masculine (heureusement pour un monsieur) qui nous demande d’entrer. Ce qu’on fit. Mon dieu, vous devriez voir le bureau, c'est un truc ! Le beau bureau avec plein de papiers, des fauteuils qui font plus ou moins mal suivant comment tu t’assois. (Vous croyez que c'était le paradis ? raté !) Bon c'est pas aussi nul qu’on pourrait le croire, et puis l’édition ça ne rapporte pas des tonnes.

- Bonjour, je suis ravi de vous rencontrer. Après avoir vu votre maquette, je n’ai eu qu’une envie, voir la suite.

- (c'est Milie qui parle) Eh bien, c'est pour cela que nous sommes ici. Alors voici quelques esquisses (fille qui s’occupe des dessins, vous vous rappeler ?)

- Et le scénario, avec plus de détails. Mais avant, parlons contrat. Normalement, avec ce que vous avez déjà vu, vous pourriez nous dire ce que vous proposiez.

Bon je sais, dit comme ça c'est pas super discret. Mais au moins, ça a le mérite d’être clair. Mine de rien, il sourit et dit qu’il aime bien les gens qui ne perdent pas le nord. Tant mieux pour lui, moi tout ce que je veux c'est être édité.

L’entretien se poursuivi ainsi pendant 2H30. À la fin, il fut décider qu’on éditerait le mois prochain une petite historiette de 16 planches, pour savoir si on plaît au public.

Sitôt rentrer à l’appart, je m’écroule sur le sol. Ah, c'était trop bien, stressant, ouf c'est fini. Oui, on va être publié, youpi ! Yes ! Etc., comme d'habitude, je suis happy. Allez maintenant, directe au boulot. Faut que je trouve une histoire solide, qui peut tenir en seize planches, et assez tôt pour que Milie puisse faire quelques croquis pour les montrer à Mr H. je travaille comme ça dur dur pendant 4h de suite (là c'est sur cette histoire est fausse), et déjà il fait nuit. Merde, (pas très poli tout ça) j'ai même pas penser à manger (c'est un miracle). Bon, je prends une douche, puis je me couche (le moment où il ne ce passe rien d’intéressant alors je comble par des bêtises).

Déjà une semaine qui passe et on arrive au second entretien (avec un vampire, il est trop beau ce film, Véro tu raconte une histoire là tout le monde s’en fiche, désolé) avec Mr H. Cette fois ci, Milie qui devait rendre un projet ne peux venir, alors c'est moi qui m’y colle toute seule. On a rendez-vous dans un café (faut pas vous en faire, ça se fait souvent). J'ai donc décidé qu'on irai là où je travaille, comme ça je rate pas mon service après l’entretien. Et puis ça fait de la pub à mon patron, ça lui fait plaisir. Donc je m’assois avec Mr H. à ma table préférée et on discute. Je suis contente, il trouve que tout est parfait, et qu'il n’y a pas besoin de faire de changement, mise à part le choix des prénoms (ah, y’a toujours le même problème). Le rendez-vous se passe vite, et il me souhaite de continuer comme ça. Faisant abstraction de mon expression de joie, je file au vestiaire et me change. Mon service se déroule on ne peut mieux, de plus, grâce à de charmants sourire, j'ai gagné de nombreux pourboires. Je rentre, raconte à Milie mon entretien et fais les trames des planches, à mon tour de dessiner un peu. Le temps file et on avance vite, on reçoit que des compliments, ça parait trop beau pour être vrai (normal, c'est une histoire fictive, banane). On arrive enfin au moment où le journal sort, ah c'est trop beau. Merci à ma famille sans qui je ne serai pas là aujourd’hui. Oh ! On se calme, on n’est pas à la cérémonie des 7 d’or là. Bon alors, achète le magasine. La libraire me retient quelques instants, et me souligne que je suis très en charme aujourd’hui (envoyer moi des fleurs, j’adore), je la remercie et rentre chez moi. C'est merveilleux, y’a un édito de la rédaction pour expliquer qui nous sommes, Milie et moi, etc. Ah ! Merci la vie.

Réh réh !!!! mai c pa mal tt ça !! Que des stress !! c bien la vie aussi dangereuse que ça ! ^^ Mon dieu !! Publier si vite ! Vs en avez de la chance !^^

oui je sais je sais, c'est ca d'avoir un don !!!

enfin oui, bon on s'arrange comme on peut tu sais et la vie et ainsi faite, y'en a qui reussisse vite quoi !

enifn bon, voici la suite !

Apparemment, on a bien apprécié notre histoire car, Mr H. veut qu’on en écrive une autre de 24 pages cette fois ci. No souci, je m’y mets de suite. Et nouveau succès. Première lettre de fan (j’ose dire).
« J’adore votre style, merci de parler librement. Plein de bonheur pour vous. Bon courage. Amy. » (J’ai rien d’autre à faire, je vais me faire des bouquets.)
En plus y’a une petite carte comme cadeau, c'est trop mignon.

Bientôt une nouvelle tombe. On va enfin avoir notre série à nous. Yes ! Le titre, plus tard. Les personnages principaux, euh, une fille qui s’appelle Samantha (voilà t’es contente ?) et c'est une guerrière style Xena. Ouai, en plus c'est une princesse. Non. Nul, recommence. Donc c'est une guerrière et … suspens, la suite dans les bacs (comme je me la pète). Ça me fait beaucoup de boulot, donc.

- Euh, Mr Kinoshita, il faut que je vous parle.

- (mon patron de resto) qu’est ce qui y’a mon petit ?

- Et bien, je suis dans l’obligation de vous annoncer ma démission.

- Mais c'est génial !

- Pardon ?

- Et bien oui, ça veut dire que tu réalises ton rêve. Ne t’inquiète pas pour le boulot, hier encore, un type est venu me demander un emploi. Mais je compte sur toi pour venir me voir de temps en temps.

- Pas de problème, Mr Kinoshita. Et puis, pour les rendez-vous avec mon agent, on viendra ici.

- Oh, ne promet pas quelque chose que tu ne tiendras pas. Fais pleins de bonnes histoires.

- Bien chef.

Et me voici, poussant encore cette porte qui m’accueillait six jours par semaine, depuis bientôt un an. Ah, Mr Kinoshita avait sûrement raison. Mais, ça me fera plaisir de le revoir à l’occasion.

Je rentre vite à la « maison » et me prépare pour mon boulot. Il me faut un certain état de concentration pour arriver à rentrer dans l’univers de ma nouvelle série. (Chose pas très difficile vu que Samantha, qui est le personnage principal, est une de mes amies proches.) Donc (j’arrive pas à avancer, Géraldine me perturbe), je me disais, oui la suite où en est Sam ? Le nom n’est pas définitif (malheureusement) Mr H n’a pas regarder et dit ce qu’il en penser. Mais pour l’instant, ça reste Samantha. Alala, bon je gratte pendant 3H, grand maximum, après il faut que j’aille faire les courses, le frigo ne se remplit pas tout seul.

(Le temps passe…) Et il me reste que 10 minutes jusqu’à mon délai imposer. Bon, faisons fit de celles-ci (je parle des minutes là) et préparons nous pour la grande expédition des courses (y’en a qui on rien à dire). Je sors mais oblique vers le parc, faut que je marche un peu plus, sinon c'est moi qui serai la dinde à noël. Oh ! C'est la fin de l'été et bientôt l'automne arrivera ainsi que mon anniversaire pour le début novembre ! Je vois pleins d'affiche pour les festivals dans divers temples pas trop loin de la ville, comme ça on peut aller prier les dieux avant les temps durs comme le veut la tradition. Tu me diras au Japon, ils sont très rituels, ce n’est pas plus mal, j’ai même pensé à m’acheter un kimono pour aller aux fêtes des temples. Mais j'ai trop de travail pour sortir le soir. Bon, continuons ma promenade, aujourd’hui j'ai de la chance, un grand soleil éclaire le ciel.
Tiens mais que vois-je ? Une fontaine, c'est trop beau, il faut que je pense à sortir plus souvent de chez moi. Et entraîner Milie avec moi, elle bosse trop. Il est déjà tard et je n’ai rien acheté, je dois m’y mettre tout de suite, en plus je deviens de plus en plus forte pour la cuisine japonaise, c'est-à-dire qu’on doit pas tout jeter à la poubelle, c'est mangeable.

Enfin de retour à l’appart’, Milie prend sa douche, bon je range vite ce que j'ai acheté et je m’écroule par terre. Ah, se reposer, ne plus bouger, c'est trop bon. Mais dès que Milie sort de la douche, je me précipite vers elle pour lui demander son avis sur mon story-board, ok ?
Quelle heure est-il ? Oh non, je me suis endormi, et il fait déjà nuit, ben j’irai voir Milie demain. Pour l’instant retour au pays des songes.

Et bé, elle ont une vie bien rempli les p'tites demoiselles !!! pour le coup du patron, c tro chou.. je m'en doutait en fait !!!

oui je sais c'est des tokyoites maintenant avec du dtress et tout ce qui va avec !

bon voici la suite je previens ca a l'air long mais c'est parce qu'il y a beaucoup de dialogue

Aujourd’hui Mr H. doit voir ce que j'ai préparé (ouais on va enfin savoir si Sam reste dans l’histoire). On se retrouve à son bureau pour cette fois.

- Alors, vous avez bien travaillez depuis la dernière fois ?

- Je ne sais pas, je pense que oui. En tout cas, j'ai travaillé dur.

- Bien, bien. Alors faites moi voir ça.

Je lui passe les feuilles, et il les scrute avec beaucoup de sérieux. J’entends une mouche voler, ou alors c'est mes oreilles qui bourdonnent trop. De toute manière, je ne dis mot, il y à un truc que j'ai retenu ici, c'est qu'on ne doit jamais parler. Sauf quand on nous le demande. Enfin, il relève la tête, je commençai à perdre patience.

- C'est pas mal, je le pense vraiment. Mais ce n’est pas la 8ème merveille du monde. Il manque quelques petites choses. Comme les profils pas assez étoffé. Le fond de l’histoire est bien, mais les personnages pas assez accrocheurs, en tout cas pour moi, peut-être que chez vous ça aurait suffit, mais là c'est trop peu.
Vous n’allez pas jusqu’au bout de vos idées que vous posez ; même si ce que vous dites est suffisant, il faut toujours aller plus loin en pensant que ça pourrez vous servir un jour…

Oh, alors là c'était du discours. Je n’en reviens pas qu'il m’ai remballé tout ça ainsi. Mais c'est mon patron, et je n’ai rien le droit de dire. Il faudra donc que je m’y remette. Je dois avoir fini dans trois jours, je sens que mes promenades au parc vont se faire rare. Je rentre chez moi, plus démoraliser que jamais (faut bien redescendre un peu de son nuage un jour) et je retrouve Milie, toute contente de s’être trouver un copain.

- Il est génial, bien foutu et pas trop chiant.

- Tu la choisis parce que tu pouvais vite le lâcher ?

- Exact ! Mais c'est super dur à trouver ici, ils veulent tous se marier, acheter une maison, avoir des enfants tout de suite. Les temps sont durs pour une chasseuse comme moi.

- Ah, je sais. Moi, tu vois je m’en fiche plus ou moins.

- Ok, d’accord. Tu resteras toujours accroché à ses basques, mais c'est trop tard Véro. Tu le verra plus jamais de ta vie ! Cherche quelqu'un d’autre, ou tu finira très frustrer.

- Je sais, mais je peux pas ! Et puis laisse moi tranquille, j’ai plein de boulot à faire.

- Comme si moi j’en avais pas ! Je vois quasiment jamais la couleur de ciel tellement je bosse !

- Je sais. On est bien servit toutes les deux.

- Oui, bon. Pendant qu'on y est, je dois retourner bosser.

Je la regarde partir et me demande comment elle a pu rencontrer quelqu'un si elle travaille tellement. Y faudra que je creuse ; plus tard, maintenant, boulot, boulot.

Enfin, j'ai fini. Après deux jours de dur labeur, je passe à Milie ce qu'il faut pour qu’elle peaufine les dessins, et demain, on est prête à affronter Mr H. hi hi, il ne pourra plus rien dire sur mon merveilleux travaille de pro.

Non, je me suis pas réveillée assez tôt. Bon, prend une douche, mange un morceau, lave toi les dents (très important pour l’hygiène bucco-dentaire) et habille toi, euh, coiffe toi aussi. Milie, ça y est je suis prête, j’espère qu'on est pas en retard, oui, non, non ouf ! Aller cours, cours comme une folle jusqu’à la gare pour pouvoir prendre le train. Glisse toi dedans et profite de ces quelques instants de repos, avant l’exécution. Ouf, je me tourne vers Milie qui me regarde avec des yeux suppliants.

- T'as pas oublié le dossier ?

- Non, regarde je l’ai … pas. M… (compléter les trous) p… Pourquoi, mon dieu, comment je vais faire ? Comment on va faire ? Une carrière fichue pour un oublie de feuille. Non, je vous en supplie, pitié pas ça. Arrêter le train, mais arrêt…

- Oh ! On se calme, j'ai pensé à les prendre. Et puis de toute façon c'est moi qui les avais vu que je devais finir les dessins. Mais c'est que t’es stresser dis moi.

- Milie ?

- Oui.

- Je suis dans l’obligation de te tuer, excuse moi à l’avance.

- Non, t’approche pas.

- Mais pourquoi t’as fait ça, banane ! Tu veux que j’aie une crise cardiaque ?

- Tu ressemblais à Ritsu de Fruits Basket comme ça tout à l’heure.

- Et tu trouves ça drôle ? Ha ha ha, je suis morte de rire.

- Oh, t’avais qu’à te réveiller plus tôt !

- Oui, merci je sais. On descend à la prochaine, prépare toi.

- Ok. (disait elle un grand sourire aux lèvres)

héhéhé.. la suite, la suite ^^

pas de probleme avec plaisir meme !! (faut que je reinstalle open office par contre ca prend du temps, c long, alors je donne mais impression ... c tjrs long !! bouhou !
c la 11eme fois que je vois le "nouveau" clip de madonna, je commence a etre oversouler moi !)

Aujourd’hui c'est rendez-vous dans un café, je pourrai compléter mon petit déjeuner comme ça. On arrive, salutations distinguées. On s’assoit et on commence le travaille. C'est Milie qui attaque (avec un crochet du gauche), puisque finalement, c'est elle qui a trouvé le scénario de base et moi, j'ai étoffé dessus.

- Hum, hum, c'est bien mieux, oui, ok, pourquoi est ce que vous avez choisi ça ?

- Eh bien, parce que j’ai un second métier qui me prends quasiment pas de temps, et il est quand même intéressant. Et puis je trouve ça amusant.

- Vous savez qu'on ne peut pas parler de shojo ici ?

- Oui (là c'est moi qui parle), c'est pour cela que vous m’aviez redemandez de le travailler. Mais ce sujet est obligatoirement traité en shonen, sinon il perd toute son ardeur.

- Oui, je comprends bien, mais si vous avez commencé par des shojo, pourquoi partir maintenant vers des shonen ? (pour ceux qui connaissent pas, shojo : pour fille, shonen : pour garçon)

Et flûte, je me fais encore engueuler, c'est pourtant bien fait. Mais comme c'est un shonen, il peut pas nous imprimer dans le mensuel habituel. Et comme dans l’autre il ne nous connaisse pas, c'est dur de s’imposer. Bouh snif, comment faire ? Il faut que je fasse encore une nouvelle histoire ? Ah mais, j’en ai une qui est déjà bien entamé. Celle sur laquelle je bossais dans l’avion, avec une fille qui se travestit pour pouvoir aller à l’internat…

- Mr H. j'ai peut-être quelque chose pour vous.

Mon dieu, la chance j'ai encore les dessins sur moi, et tout ce qui va avec.
Mais c'est parfait, enfin vous comprenais c'est très bien, bonne initiative de votre part. Montrer moi cela.

- (Milie tout bas) T’as ça sur toi depuis longtemps ? Attends c'est le truc qu’on a imaginé à 15 ans, tu crois vraiment pas que c'est démodé ou quelque chose comme ça ? Mint Na Bokura a la même intrigue !

- Et alors ? c'est mieux que rien. Ou sinon, on passe à la trappe. Et puis, c'est pas tout à fait pareil, y’a juste le déclencheur qui est le même.

- Et bien, je trouve cela plutôt pas mal. C'est même assez bon. Les jeunes gens ne lisant quasiment jamais les anciens bouquins ne vous en voudront pas si ça ressemble à Mint. Je vous ai entendu, c'est assez calme ici.

Génial, niveau discrétion on est les meilleures. Mais c'est pas grave. Il aime bien notre truc, je vais pas me faire renvoyer, youpi ! Enfin, maintenant faut que je trouve un fil encore mieux pour l’histoire (faut que ça dur quoi).

- Désolé de vous avoir déranger pendant votre lecture (Milie parfaite devant le patron).

- Non, ne vous inquiéter pas, j’aime bien entendre l’avis des auteurs, même secret.

- Ah d’accord, merci bien alors. Donc est ce que vous avez des choses à dire sur ces planches ?

- Oui et non.

Finalement, il été plutôt satisfait. Et on a notre série, j’arrive pas à croire qu'il soit content de ce truc. Enfin, on va quand même se donner à fond avec Milie.

Quelle joie de rentrer chez soi après une dure journée de labeur. Mais le problème est que je dois faire 45 planches avant la fin du mois. Donc dès demain, c'est boulot-boulot. Mais là tout de suite maintenant, dodo !

- Véro, t’as du courrier.

- Non, dormir.

- Ben, ce sera pour plus tard. Ça vient de France, mais c'est pas ta sœur ou ta mère.

- C'est qui alors ?

- Je sais pas moi ! T’as qu’a l’ouvrir, pôv’ nouille.

- Oui oui, tout de suite. …

- Et ben ça alors, je n’aurai jamais penser qu’il pourrait m’écrire celui là. Qu’est qui me veut ?

- Qu’est ce qui dit ?

- Il voudrait squatter à l’appart’ le temps d’un stage ou quelque chose du style.

- Pendant combien de temps ?

- Quatre mois ! Ça fait beaucoup quand même pour un stage. Même si le Japon c'est super.

- Je trouve ça plutôt louche moi. Et en plus comment il a eu ton adresse, ça va faire sept ans que tu l'a pas vu (à le chiffre de la divinité !! que voulez vous ?)

- Je sais pas moi. Comment voudrais tu que je le sache ? Bon, je lui réponds quoi, surtout qu’on va avoir du boulot là.

- Raison de plus… Dis lui que c'est OK. T’en meurs d’envie, je le vois bien.

- Mais pas du tout !

- Ne mens pas.

- Bon ouais, c'est d’accord je lui réponds que c'est bon.

Mon dieu comment je vais faire moi maintenant avec l’autre dans mes pattes, je vais pas pouvoir me concentrer. Oh, galère, galère. En plus, il va dormir où ? Je veux pas lui laisser mon appart’ pour lui tout seul et Milie pareil (en plus elle a des copains, et voudra avoir quelques moments d’intimité). Ah, ça me dérange pas qu’il vienne, mais quand même oui. C'est mon « premier amour », même si je suis jamais sorti avec. Je vais devoir me montrer forte. Et maintenant, en plus je peux plus dormir, peut-être que ça ira mieux après.

Héhéhé.. j'ai haite de le voir... gnagnagna ^^ le chiffre 7 est aussi mon chiffre !!! Pi, sympa le crochet du gauche ^^
bisous

pourquoi tu as hate de le voir ?? il a rien de particulier tu sais ... en plus je te dis ca juste pour toi, mais si tu a bien remarquer, j'ai fait aucune description des personnages !! et lui non plus il en a pas (dailleur je fais jamai de description quand j'ecris)

enfin je te mets la suite maintenant

Une semaine a passé depuis et j'arrive à mieux dormir car le soir je suis tellement fatigué que je n'ai plus le temps de penser. Les planches avancent vite, ils ne m'en reste plus qu'une dizaine à faire. Mais demain, je vois Mr H. et je sens qu'il va me demander plus de pages qu'il ne m'avait dit au début. C'est pas grave, j'essaie de m'avancer le plus possible. J'ai déjà trois chapitres à mon actif.
Milie bosse beaucoup elle aussi, elle doit encrer et finir ses plans pour je ne sais quel politicien japonais ou chinois ou même américain. Ma foi, elle ne me parle quasiment jamais de son boulot. Brave Milie qui fait tout ce qu'elle peut alors que moi, je ne me bouge presque pas.

Ah non, téléphone. Oh, je laisse le répondeur, y'a le boulot qui m'appelle avec Lucrèce et Dan (c'est pas japonais et alors !), pris en plein dépourvu par Mat qui, enfin voilà quoi. Y'a une grosse scène à dessiner. Ah ça y'est plus de sonnerie.

- Je ne suis pas là pour l'instant, veuillez laisser votre message après la petite chanson (c'est dit en japonais). Chalalalala (petite musique).

- 'lloir que je me mette un peu au japonais moi. Y'a une chanson là, ça enregistrer ? Bon dans le doute. Véro ? C'est Eric ! Si tu es pas là dommage. Juste pour te dire que j'arrive le 3 novembre, je sais pas encore à quelle heure. Je te le dirai plus tard. Voilà, bon je te laisse, merci encore et rappelle moi. Le numéro est dans la lettre. bon, salut. [clap]

Ah ! C'était Eric ! Pourquoi j'ai pas répondu ? Bécasse, bêtise, stupidus ! Mon Dieu, pourquoi ! Oh et puis tant pis, il faut que je travaille, mais rah… faut que je le rappelle quand même, non ? Attends, après avoir fini les planches sinon tu pourras pas te concentrer après. Oh, mais je suis déjà pas concentrer alors pourquoi attendre ? Non, bosse – bosse – bosse, t'en as besoin pour vivre, t'as pas besoin d'un mec maintenant, ça occupe trop l'esprit. Raaah ! ARRETE !

Et je continu ainsi pendant une demi heure, après avoir regardé ma montre, je me dis qu'il faudrait ne plus penser à rien, et écrire ce fichu truc. Ce que je fais d'ailleurs. Alors, voyons ce qui se passe après le cours quand Mat souhaite de plus ample explication. En fait, il les a dérangé en plein milieu d'une séance de peinture où Dan faisait le modèle (torse nu) et Lucrèce était en train de le positionner comme elle souhaitait peindre. Ce qui est normal. Mais ils ont failli tombé et Mat est arrivé juste à ce moment. Mais va le dessiner maintenant. Allez, fais les cases, trait, règle, crayon, puis le schéma, … ok, la suite maintenant.

- Véro !

- Pfeu, oui quoi !

- Téléphone, dépêche !

- Chez toi ?

- Oui, allez, grouille.

- Ok.

Mais qui ça peut être ? Je bosse moi, ce qui n'arrive pas souvent !

- Allo.

- Allo Véronique, c'est maman. Tu vas bien ? Tu ne m'appelles jamais, et quand je t'appelle, tu ne réponds pas. Je me fais du souci.

- Hein ? Oui, désolé maman. Je travaille 24 heures sur 24 (oh la grosse menteuse !), pardon. [Je pensais que c'était Eric.] tu comprends, c'est dur de trouver le bon timing. Excuse moi. Mais ne t'inquiète pas, ça va bien. Je gagne bien ma vie et je ne me suis pas entretuer avec Milie.

- Bon d'accord, mais appelle plus souvent. Et puis essaye de venir pour les fêtes au moins, où pour ton anniversaire.

- Euh, oui mais pour cette année ça tombe mal. Je peux pas revenir pour mon anniversaire, ni pour noël. Je suis désolé.

- Même si ils sont proche tout les deux, viens pour un au moins.

- J'ai plein de chose importante à faire le 4 [surveiller Eric pour qu'il ne casse pas tout chez moi] et pour noël [la série parait tout les mois, avec un spécial pour noël], où en tout cas je ne pense pas que je pourrai me libérer.

- C'est dommage, vient en octobre pour l'anniversaire de Camille. Il te reste deux mois à peu près. Viens tu verras tout le monde comme ça.

- Je vais essayer, je te promet rien, ok ?

- Bon, d'accord. Appelle moi pour me dire.

- Oui. Au fait, Camille est toujours à mon appart' ?

- Quelques fois. Mais ne t'inquiète pas, elle m'a dit qu'elle m'était toujours la clé au même endroit.

- Ok ok. Bon merci. Au revoir maman.

- Au revoir ma chérie. Bisou.

- Bye.

Ah, ça fait du bien quand ça s'arrête. Bon je rends son téléphone à Milie puis au dodo.

- Merci Milie. A demain.

- Mm. Bonne nuit.

- Tchao.

Ah mon lit, il faut que je le prépare. Je pousse la table, je pousse la chaise, je prends mon futon, je prends ma couette, mon oreiller. Je fais vite ma toilette – pyjama et bonne nuit. Ah tiens, j'y pense, comment il va dormir Eric ? Euh, bon j'ai un autre futon. Mais c'est presque comme si on était dans le même lit. Bon, je verrais plus tard. Là tout de suite maintenant, je dors.

vi, j'ai vu que y'avai pa de description mais je sui ssur qu'il va foutre le bordel et que ca va être trè drôle... stt avec les sentiment de Véro ^^

tu sais j'arrive pas trop a rendre les trucs super comique, alors enfin, j'ai peur que tu sois decue ... enfin il n'y a que toi qui sera juge

voila la suite, avec le premier "affrontement" véro/eric

Le temps passe, encore et toujours. (J'adore ma transition).

Finalement, je ne vais pas aller chez ma mère. Elle va me détruire la prochaine fois que je la vois, où que je l'appelle. Enfin, c'est pas grave. J'ai autre chose à penser comme, qu'est ce que je vais manger ce soir ? (L'estomac est de retour !) Là je viens juste de finir mon boulot du mois et ça fait bien plaisir. Milie est sortie, donc j'ai deux appart' pour moi toute seule. Hihihi.
Je m'ennuie, j'ai personne à qui parler ! Oh mais, si j'appelais Eric, je l'ai toujours pas fait depuis. Et ça fait un mois et demi déjà. J'exagère pas un peu ? Mieux vaut tard que jamais comme on dit. Aller où est la lettre.

Farfouille, trifouille. Je retrouve jamais rien, va falloir que je range un jour. Alors, ça devrait être… par là. Non. Bon, alors, par… ici. (Où comment faire des phrases qui ne servent à rien, pourquoi vous continuer de lire ? c'est inintéressant de tout façon.) Par ici ? Oui ! Non, c'est pas là. Peut-être chez Milie. Ouvre la porte. Ferme la porte. C'est encore plus mal rangé chez elle (comme d'habitude). Bon alors, je vais pas y passer le réveillon. Ah, ça y est j'ai trouvé. Yes ! Je suis la meilleure. Alors, 0010 (le truc pour pouvoir appeler en France je sais pas ce que c'est alors j'écris n'importe quoi).

- Tût…tût (vive le bruit du téléphone)… tût… tût

J'aime pas attendre.

- Tût… tût… tût… tût.

- Bon y doit pas être l

- Allo ?

- 'a. Allo oui bonjour, c'est Véronique.

- Ah oui, salut. Excuse moi, tu peux attendre 30 secondes ?

- Euh, oui. [qu'est ce qui se passe ?]

- (de loin) oui, euh, je pense que tu devrais y aller. Je t'appellerais, ok.

- (voix féminine) d'accord mon chéri, allez au revoir.

- Bye. (de nouveau au téléphone) oui, voilà je suis tout à toi. Alors, t'en a mis du temps pour m'appeler. T'as de la chance, je pars d'ici le week-end prochain.

- Ah. (en rogne à cause de la voix féminine)

- Oui. Donc, c'est toujours ok pour que je vienne chez toi le 3 ?

- Euh, oui, oui. Y'a pas de problème. Par contre je te préviens, l'appart' n'est pas grand. Mais vraiment pas du tout.

- C'est-à-dire ?

- Ben, y'a une pièce qui fait, salon, salle à manger, cuisine, chambre.

- Et y'a pas de place pour dormir ?

- Si si. Juste qui faudra pas trop prendre de place. C'est un appart' amovible en quelque sorte.

- Ah, ok. Je m'y ferai ne t'inquiète pas. Par contre je sais plus à quelle heure j'arrive. Attends je cherche.

[il sais pas que je paye la communication, ou quoi ?]

- voilà à 14H27 à l'aéroport de Tokyo.

- Ok, y aura pas trop de circulation. Ni trop de monde dans le train.

- C'est parfait, alors tu viens me chercher ?

- Vaut mieux sinon tu vas te perdre. C'est la jungle ici !

- D'autant plus que je ne sais pas parler japonais, moi.

- Et tu vas faire comment pour communiquer avec les autres ?

- Ben, tu feras la traduction. Et puis je sais parler anglais, et c'est une langue internationale.

- Juste pour ton information, j'ai du boulot moi aussi. Et j'ai pas envie de te suivre partout comme un gentil petit chien. De plus, j'ai appris que contrairement à ce que l'on croit, peu de gens savent bien parler l'anglais.

- Bon et bien tu m'apprendras le japonais.

- On verra. Il faut que je te laisse, je dois préparer mon dîner.

- Maintenant ? mais il n'est que 2H. tu déjeunes plutôt.

- Non, chez moi il est 22H. tu connais le décalage horaire ?

- Désolé, j'ai oublié.

- Pas grave. Bon, rappelle moi si y'a un problème.

- Ok, pas de souci. Au revoir.

- Bye.

Et là je dis vive les prises de têtes. J'ai hâte de voir comment ça va se passer. Bon, je vais marquer l'heure sur le calendrier avant d'oublier. 3/11 à 14H27 chercher Eric. Quelle chance, la veille de mon anniversaire, je dois m'occuper de l'autre. Et je sens qu'il va vouloir jouer les touristes. (On dirait pas comme ça que je suis folle de lui.) Ah, quel bonheur !

Dès que Milie est rentré, je lui raconte ma petite conversation avec Eric. Elle pense que je suis stupide. Même si elle a raison c'est pas la peine de me le dire. Elle est méchante avec moi, en plus elle se fout grave de ma gueule, parce que d'après elle j'attends toujours après lui comme après le prince charmant. Mais quelle bêtise, je suis pas conne non plus (techniquement si) [oh toi la petite voix, la ferme !]. Je sais très bien que j'ai aucune chance avec lui. Et de toute façon me prendre la tête tout le temps c'est pas mon trip. Et puis en plus j'ai du boulot. Faut que je prépare la suite de la série et faire croire à Mr H que j'ai rien fait et que j'ai besoin de plus de temps, pour pouvoir moins travailler le mois prochain. Tu vois, je suis moins stupide qu'on ne le croit. En plus, ma petite série avance bien. La vie recommence à me sourire. Mais bon je sais toujours pas comment je vais faire pour vivre 4 mois avec l'autre chez moi. Quelle galère.

Ah non ! La vexe ! il était avec une fille !! pa de bol là !! mdr !!!! tu m'étonne qu'elle est pa contente aprè ^^

ca me fait penser que j'ai oublier d'expliquer qui ct apres !! alala !! pourtant je sais qui sais mais bon, j'ai zapper. faut que je rajoute ca !

enfin tu le decouvrira pas tout de suite donc j'ai le temps !!

a oui les dialogues sont a ma sauce (comme le reste mais bon, c'est une entrée en matiere pour dire que) je précise pas qui parle, donc si y'a besoin de plus d'explication faut le dire et je corrigerai

autre indication, c'est le plus grand chapite que j'ai fait pour le moment, ca fait 2 pages (a peine oui) mais ca en fit bcp quand tu lis sur le forum.

enfin j'arrete de parler, voila la suite

Y'a plein de lettres à lire, mon Dieu. En plus je dois tous leur répondre. Bon allons y. Oh c'est mignon, j'ai reçu une petite peluche. Elle est trop mimi, c'est de la part de qui ? Ah ok. Bon alors, je la remercie, etc., etc. C'est dur d'être non pas adulé, mais admirer. Quelle heure il est ? Bon, il me reste une demi heure et après je part chercher Eric. Et oui, c'est aujourd'hui qu'il arrive. On va se dépêcher quand même. Hey, mais comment il a su que c'était mon anniv' lui ? (Je parle d'un fan.) Ah si je sais, on la marqué je sais plus dans quel magasine.
Ça fait super bizarre que des gens sachent autant de choses sur ta vie. Bon quelle heure est-il ? (Je cherche beaucoup l'heure ces temps ci.) Ah bon, dans 10 min je pars. Donc je vais me préparer, tout est rangé, c'est nickel. Va falloir que je m'habitue à tout ranger comme ça tout le temps ? Ça va pas être possible, quand je me mets au boulot, je deviens bordélique.
J'improviserai en temps voulu. Je vais me pomponner un petit peu dans la salle de bain. Tiens, un mot de Mil : "je travaille, mais préviens moi quand il sera là. Amuse toi bien !" J'ai l'impression qu'elle prend cet visite beaucoup trop sérieusement, remarque moi aussi je dois donner cette impression. Alors que, quoique, non, je prends ça vraiment très sérieusement. Bah, c'est pas ma faute s'il ne me laisse pas indifférente, comment je vais faire ça va durer 4 mois. Je vais prendre les choses du bon côté, ça va me permettre de le revoir et basta. Allez maintenant il faut que j'y aille, alors hop.

(Je vous épargne les péripéties de l'aéroport.)

Ok, donc il arrive à 14H27 donc du terminal … en clair, de toute façon je dois attendre ici. C'est-à-dire là où toutes les arrivées débarque. Ah, il me reste plus qu'à patienter, je vais en profiter pour continuer mon script, comme ça y'a pas de temps perdu. C'est rigolo, sur la provenance du vol y'a marqué Athènes, alors que nous on est passé par Washington. Il doit pas venir de France.
Je dois me concentrer sur mon script, car il est certain que l'avion va avoir du retard, comme toujours, les avions ont tout le temps du retard. (Tic – tac – tic – tac. En clair, le temps passe.) Bon, j'ai bien avancé, son avion est arrivé, le temps qu'il passe les formalités douanières. De tout façon, s'il arrive je le verrai, puisque j'ai vu sur la porte, et qu'Eric ne fait partie de la population qui fait moins de 1m85 (pour être exact il fait 1m87).

Ah tiens des gens se bousculent aux portes, je me lève et me dirige vers le "troupeau". C'est drôle, y'a quasiment pas d'occidentaux. C'est, pour la plupart, des touristes qui reviennent au pays, bah, ce sera encore plus facile pour moi de reconnaître Eric. Hum, ça doit être lui.

- Véro, ça me fait plaisir de te revoir. {il me prend dans ses bras}

- [bonheur] oui, moi aussi. {je me recule} le voyage n'était pas trop épuisant ?

- Non, mais le décalage horaire est surprenant (je sais pas si ça ce dit pour un décalage horaire ? À creuser !). J'ai quand même hâte de poser mes affaires.

- Ouai, ben, va falloir patienter. Parce que pour le taxi c'est râpé, y'a trop de monde ; remarque y'a toujours trop de monde.

- Alors on fait quoi ?

- Et bien on prend le shinkansen {air genre : hein ! ? De quoi tu parles ? de la part d'Eric} le train qui fait la même chose que le métro. Désolé c'est la première fois que tu viens, tu vas te sentir un peu dépaysé. (ohohoh je lui en fait voir de toutes les couleurs dès son arriver, c'est génial.)

- Oui, c'est normal. Mais de toute façon y'avait déjà beaucoup d'asiatique à Athènes. Que veux tu, le tourisme.

- Oui, bon, on va commencer à avancer sinon on y est encore demain matin. (pas contente parce que monsieur voyage partout)

- Pas de problème.

On sort enfin de l'aéroport, et on se dirige vers la station de train, je récapipète un peu comment ça va se passer à la maison. C'est-à-dire que chacun travaille de son côté, qu'il n'aura pas de clé et que si je suis pas là il passe par chez Milie (ce qui arrive pas souvent, il faut le dire), que j'ai pas envie de jouer la soubrette. En clair, je me montre plus froide que je ne le suis généralement. Il ne s'offense pas et me promet de ne pas m'embêter.
Je respire un peu en regardant le paysage, on est pas en période de pointe alors c'est pas tellement bondé. Mais on est quand même debout, et à chaque tournant c'est soit lui qui tombe sur moi, soit l'inverse, je suis tout de même assez gênée. Eric est trop fatigué pour remarquer quoique ce soit. On arrive bientôt à la "maison", et j'en suis la première ravie. Je pourrai peut – être redevenir maître de moi-même dans un lieu où je me sens à l'aise. J'ouvre la porte et rentre, Eric me suit de peu et à sa tête je vois bien qu'il ne s'attendait pas du tout à cela.

- Je t'avais dit que c'était petit.

- Oui, mais je ne penser pas que ça voulait dire minuscule. On peu vivre à plusieurs d'en un truc pareil ?

- Y'en a qui arrive à être 4 dedans !

- Non, tu déconnes. C'est pas possible !

- Si je te jure ! mais si t'es pas content, tu peux aller dans un hôtel.

- Non, non. Désolé, t'inquiète pas ça va aller.

- À la bonne heure ! (c'est la bonne expression ?)

Je suis contente du petit effet que ça produit chez lui. Il avait qu'à mesurer les conséquences avant de venir. Je passe vite voir Milie avant d'oublier en passant par la salle de bain, et j'en profite pour faire la petite visite qui dura moins de 5 min.

- Milie, regarde qui j'amène.

- Attends, laisse moi deviner … hum … Eric ! Ouai, je suis trop forte.

- Y'en a qui ne changerons jamais.

- Et non. Je suis contente de te revoir. Et c'est bizarre, tu ne pars pas en courant. Que c'est-il passait ? Tu n'es pas le vrai Eric, tu est un extraterrestre, avoue.

- Non, je suis le vrai. Mais contrairement à d'autres je prends sur moi et je change et deviens mature.

- [je sens que ça va partir en vrille.]

- Bien sur, comme si travailler loin de sa famille c'était pas quelque chose de difficile ? Ça ne montre absolument pas que je sais me prendre en charge. Et c'est moi qui me comporte comme une gamine, alors que d'autre fuyant en criant "maman" quand je voulais leur parler.

- T'as la rancune tenace. Mais si tu n'avais pas, aïe !

- Oh ! C'est bon, calmos ! C'est pas le bon moment pour rendre ses comptes. Milie est fatigué, Eric est fatigué, je suis fatigué alors basta ! Toi, tu reste chez toi et tu travaille, ou tu sors et tu te déstresse. Et toi tu viens avec moi pour ranger tes affaires et mieux connaître l'appart'.

J'ouvre la porte et attend Eric, après quelques secondes il passe la porte et se pose devant ses bagages.
Je ferme la porte et viens vers Eric qui m'attend debout ne sachant pas où s'asseoir. Je m'approche vers lui et lui propose de l'aider à ranger ses affaires après lui avoir montrer son "coin"(je suis quand même bien élevé). Il me répond gentiment qu'il pouvait le faire seul. Je repars donc travailler, seulement il me demande quelque chose toutes les 30 secondes.

À la fin, j'en ai marre, alors même sans son contentement je prends dans sa valise et commence à ranger moi aussi. Bien sur monsieur n'est pas content et essaye de m'empêcher d'avancer vers la valise (c'est passionnant, non ?). Mais je force, et je me retrouve par terre, lui me tenant les poignés, moi allonger sur le dos. Sa tête proche de la mienne, trop proche. J'avais ses yeux juste en face des miens, j'étais en train de me perdre dans son regard. J'oubliais tout, je ne pensais plus à rien, juste à ses yeux, qu'ils ne faillait pas m'enlever, que je voulais rester ainsi encore et encore, jusqu'à la fin des temps.
Le temps d'ailleurs, s'écoule, cinq secondes peut-être six ; mais pour moi un instant infini et en même temps trop court. Il se relève et me dit de le laisser s'occuper de ses affaires. Je reste allonger immobile, le souffle coupé, le regard fixe pour ne pas perdre l'éclat que j'avais aperçu. Il se fait du souci et pense m'avoir fait mal (yes, inquiète toi pour moi, c'est la moindre des choses), il s'agenouille près de moi et me prend la main. Ce contact me réveille de ma torpeur et je me retourne vers lui, là je retrouve ses yeux avec un regard inquiet qui me fend l'âme (je sens que ça va devenir un roman à l'eau de rose moi). Je m'assois alors précipitamment et le rassure. Il a toujours ma main dans les siennes. Il me scrute, veut être sur que tout va bien (là c'est sur je me monte trop la tête sur ce coup là). Je lui réponds qu'il n'y a aucun souci. Alors il me propose de l'aider, pour se déculpabiliser peut-être. Et j'accepte de bon cœur (je suis la reine du monde, tout le monde fais ce que je veux).

Décidément ces jours prochains vont être durs pour moi. Mais j'ai oublié une chose, les nuits aussi ça existent.

Rah là là.. ca va pa être simple c't'histoire encore! ^^ j'aiomerai bien reçevoire des peluche moi ^^

ouais moi aussi, je voudrais bien !
hier me suis eclater a relire la fin pour verifier les fautes et tout, et je me suis dis qu'il faudrai que je réécrive toute la fin parce que vraiment c pas super (gt jeune quand je l'ai ecrit !!)

mais bon, finalement je vais garder telle qu'elle, et on vera bien.

On mangea assez tôt ce soir là, parce que le décalage horaire été dur à supporter pour son estomac. J'ai préparé des croquettes (non, non, pas des trucs pour chats ou chiens, je tiens ça de Sakura), avec du riz et des petits gâteaux. Il ne faut pas trop manger le soir, sinon on dort mal.
Après, je lui dis de profiter de la salle de bain pendant que je mettais les futons. Bien sur il s'offense plus ou moins de dormir à même le sol. <<Imagine que tu campes dans l'appart' et pis c'est tout. >>
Après que je lui ai dit ça, il alla se débarbouiller avec une douche (on entend l'eau qui coule et ça laisse Véronique rêveuse). Je mets vite les lits et j'attends mon tour pour la douche, je le vois qui sort en caleçon (habit de nuit) avec les cheveux encore tout en vrac et un peu humide (là Véro fait houtch !) Je lui montre sa place et pars vite dans la salle de bain. Il m'arrête au passage.

- Tu étais obligé de les coller ?

- Tu vois de la place quelque part ?

- Non.

- Écoute, tu as ton matelas, ton oreiller, ton duvet, alors où est le problème ?

C'est fou comment on peut se mentir à soi-même, puisque je m'étais posé exactement les mêmes questions et les réponses m'avaient déplus.

- Hum. Il avait les yeux rivés sur les futons et ne semblait pas convaincu.

Je rentre vite et ferme la porte de mon côté à clé, je me fiche que Milie rentre, mais pas Eric. J'épargne les détails, mis à part que la douche été au max froid à mon arrivé. En clair, il s'était pris une douche glacé à proprement parler, est ce que c'est bon signe ?

Après avoir enfilé ma chemise de nuit, j'étais prête à passer dans ma chambre et à aller me coucher. Ce que je fis, sauf que Eric endormi prenait la moitié de la place des deux futons. Malgré tout je me glissais dans le mien en espérant qu'il ne dérive pas trop vers moi. Tout ça me fit effet que je restai éveillée pendant trois heures, au lieu d'une habituelle.
Et le lendemain matin, je me retrouve dans son lit, et lui dans le mien ! Il a dû se passer un truc du style, chacun a roulé vers l'autre, pendant la nuit. Enfin, je me lève vite, je me change dans la salle de bain et je retrouve Eric réveiller en train de se lever.

- Bonjour !

- Bonjour.

- T'as bien dormi ?

- Hum, ouais, j'étais tellement crevé de tout façon.

- Faut ranger les lits.

- Hein ?

- Il faut plier les lits et mettre la table pendant que je prépare le petit déj', mais t'as le droit de te changer avant si tu veux.

- Hum ok.

Je fais ma fière mais d'habitude, je suis pire que lui, je n'arrive jamais à me réveiller. Pour continuer à lui en mettre plein la vue, je prends mon futon et le pli en un temps record par rapport à ce que je fais d'habitude. Après ça, je vais préparer le petit déjeuner, mais s'il croit que ce sera pareil tout les jours, il se gourre, demain ce sera chacun pour soi (on est en guerre ou quoi ?), il rangera son lit et se fera à manger tout seul, je suis pas sa bonniche (j'arrête pas de le dire,mais depuis qu'il est là, je fais tout).

Bon sitôt après le petit déj', je m'installe à mon bureau comme d'habitude et je commence à travailler. C'était sans compter Milie qui arrive en trombe chez moi pour me souhaiter un bon anniversaire. Et elle m'offre un super cadeau : un lecteur MCD (je crois que c'est ça, je suis pas sur). C'est génial ! C'est à ce moment là qu'Eric me regarde et me demande.

- C'est ton anniversaire aujourd'hui ?

- Oui, mais t'inquiète pas, je ne te demande rien. Vu que moi j'ai rien pris pour toi. C'est bien le 8 toi, non ?

- Oui. Tu t'en souvenais ?

- Non, elle a dit ça au pif ! (Milie qui me pique ma réplique qui tue).

- Milie tu travailles aujourd'hui ?

- Non, on a décidé d'aller à la fête foraine avec Véro. Pourquoi ?

- Euh, rien.

- Et toi, tu bosses aujourd'hui ? (c'est pas grave si vous savait pas qui parle, le jeu est de deviner).

- Non, je commence que demain aprèm'. Il faut que je m'habitue au décalage horaire.

- Ah. Tu veux venir avec nous à la fête ?

- … Evil or Very Mad

(Milie pas contente)

- Euh, je vais vous gêner.

- Mais non (penser de Véro : viens je t'en supplie, fais moi plaisir). De toute façon, on y va avec le nouveau copain de Milie et j'aurai dû tenir la chandelle toute la journée.

- Hé ! c'est pas vrai. Enfin pas tout a fait.

- Tu vois.

- Bon d'accord. Dis Milie, il parle le japonais ton copain ?

- Oui, vu qu'il est japonais.

- Il parle pas une autre langue ?

- Non, désolé.

- Ah, ok. Y'en a une de vous qui pourra m'apprendre le japonais, s'il vous plaît ?

- Si on a le temps ok.

- Ok, merci.

Et nous partons (ça me fait penser à un dessin animée cette phrase, mais lequel ? pourquoi je raconte ça, bof je dis que des bêtises depuis le début, alors).

Donc je passe le transport et on est déjà devant le parc immense (la fête s'est transformé en parc finalement). Pour commencer, on fit un petit tour pour savoir quel aller être notre parcours. Et le meilleur s'avéra être, les montagnes russes, et là je dis que j'ai peur. Ben oui, je suis jamais aller dessus (je fais pitié ?), et donc ça ne m'inspire pas confiance. Je sais j'abuse, et alors, chacun a son propre passé. Mieux vaut tard que jamais.
Prenant tout mon courage à deux mains (et deux pieds), je me dirige vers la file d'attente. J'ai pas encore dit que j'allais monter dessus ; et pour me soutenir les deux autres zigotos zidiots non fait que de me raconter des accidents etc. Arrivé sur le banc d'embarquement (le style NASA c'est pas mal), je me décide à monter.

…

Je redescends après l'arrêt , c'était pas si mal que ça. Bon je vais pas courir pour recommencer tout de suite, mais ça va. On fait autre chose maintenant ? Pourquoi pas des purikuras (petites photos autocollantes si je l'ai pas dit avant). Y'a vraiment des choses merveilleuses dans ma vie et je passe un super anniv', bon n'oublions pas que Milie est collée aux lèvres de son chéri (même si ça se fait pas trop au Japon de s'exposer devant les autres), et que je suis obligée de rester avec Eric (bon ça me dérange pas des mas). Il est vrai que de toute façon je vais vivre 4 mois avec lui, donc, on va passer du temps ensemble.

À la fin de la soirée, on monte sur la grande roue, la nuit avait commencé à tomber et le parc se couvrait de millions de lumière, remplissant l'endroit de féerie magique. Pour faire plaisir à Milie, on est monté en couple ; elle et son copain, moi et Eric (comme de par hasard). Et durant tout le passage de la roue, ça me faisait trop penser à l'histoire à l'eau de rose d'un manga (remarque là c'est une histoire alors c'est peut-être normal).

Le soir, on rentre à la maison et trop fatigué je ne calcule rien et je commence à m'endormir par terre, mais gentiment Eric me réveille et m'encourage à aller me changer pendant qu'il met les futons (ô que c'est beau les rêves). Je pars me changer et j'en profite pour me rafraîchir, puis je me glisse délicatement dans mon lit en remerciant Eric pour la journée.

si tu trouve pour le dessin animé dis le moi, a chaque fois je cherche d'où je le sort !! ca va faire 3 ans quand même !!

héhéhé.. non je vois pas.. fo dire que c pa une grande frase !! notre conversation sur les montagnes russes t'as tourmantée ???$au fait.. t pa obliger de me mettr ela suite à chaq foi que je poste ! ^^

la premiere fois tu ma dit de les mettre plus rapidement, et maintenant de les mettre moins vite !!

faudrai savoir tu sais

Arf !!!! ba c pa pour autanr que tu doi le faire !! si je te di de te jeter sous une voiture, tu va le faire ???!!!!!! Qd je di ça, c juste que j'ai enie d'avoir le chap d'aprè rapidement mais pa à ton détriment ^^

ben tu sais, moi c'est deja taper donc ca me derange pas plus que ca de poster tout le temps.

mais bon, je suis pas bete non plus, je vais pas me jeter sous une voiture (que c'est dur a conduire je vais pas faire ca au chauffeur)